La Tunisie post-révolution a soulevé un immense espoir de se voir partie prenante du monde libre et de s’inscrire dans le sillage des pays développés. Pour ce faire il était, en autre autres transformations, de s’ouvrir sur des nations et des économies aussi florissantes que celle du continent asiatique et du Japon en Particulier. Le Japon dont la résilience et le sérieux lui ont permis d’être un modèle à suivre pour les pays en voie de développement comme la Tunisie. La coopération entre la Japon et la Tunisie et l’entente plus que cordiale qui date d’avant l’indépendance de la Tunisie et l’indéfectible soutien du Japon à la Tunisie lors de la période de transition démocratique ont confirmé, si besoin était, la profondeur et la sincérité de cette coopération et de cette entente.

Il fallait alors aller plus loin et plus concrètement sur cette voie en fondant la Chambre de Commerce et d’Industrie Tuniso-Japonaise (CCITJ) avec l’objectif de faire du secteur privé le deuxième pilier de cette coopération. Chose faite le 4 décembre 2014 à l’occasion de la fête de sa majesté l’Empereur du Japon.

L’ambassade du Japon et les ambassadeurs successifs n’ont cessé depuis de nous apporter leur soutien et de nous associer à tous les événements susceptibles de faciliter l’implantation et le développement des affaires et des échanges entre nos deux pays. Nous en sommes extrêmement reconnaissants pour cet indéfectible soutien et CCITJ fera tout son possible pour que les intérêts communs soient sans cesse renforcés.